Nous n’héritons pas de nos ancêtres que la couleur des magnifiques yeux de grand-mère Marie ou la peau mate de l’arrière grand père Amédée….
Nous héritons également d’une part de leur vécu et notamment les événements chargés émotionnellement : les secrets, les non-dits, les traumatismes non dépassés, les grosses peurs, les deuils non fait……..
Nous sommes au cœur de la transmission inconsciente depuis des générations au sein d’une même famille. On appelle ça le transgénérationnel.
Pour imager cette transmission, je dirais que nous venons au monde avec un livre constitué d’un chapitre des livres de nos parents, nos grands parents et arrière grands parents.
Et nous passons notre temps à lire et relire ce livre sans toutefois en comprendre toujours le sens. C’est ce qui expliquerait que les enfants d’une même fratrie, bien qu’éduqués de la même manière n’aient pas les mêmes comportements, les mêmes modes de fonctionnements, les mêmes ambitions…..
Ces mémoires fantômes qui vivent inconsciemment à travers nous….
Porter le nom d’un grand parent, d’un enfant mort, d’une personne disparue, comme cela se fait très souvent, n’est pas anodin et peut perturber grandement la vie d’une personne.
On connait la vie « maudite » de Vincent Van Gogh.
Son histoire est une preuve effrayante d’un syndrome qu’on appelle celui de « l’enfant de remplacement » :
Ce célèbre peintre est né un an, jour pour jour, après un enfant mort né, prénommé comme lui :Vincent Willem.
A chacun de ses anniversaires, il accompagnait sa mère au cimetière sur la tombe de cet enfant dont elle portait le deuil. A chaque fois, il la voyait pleurer devant une pierre tombale qui portait son nom : Vincent Willem Van Gogh.
On peut facilement imaginer les conséquences désastreuses que cet événement à répétitions a pu causer dans sa vie.
Faut-il croire que c’est de famille ? Théo, le petit frère du peintre, a également reproduit le même scénario en nommant son propre fils Vincent Willem, en mémoire de son frère ainé décédé.
Nos comportements peuvent donc être influencés par des émotions ressenties lors de situations vécues par des générations précédentes. Et ces transmissions invisibles et inconscientes peuvent être la source de certains troubles ou maladies.
C’est Anne Ancelin Schützenberger, psychothérapeute en psychogénéalogie qui a dit :
“Ce qui ne s’exprime pas en mots s’imprime et s’exprime alors en maux”.
Mais comment est-ce possible ?
Tous simplement parce que tous les traumatismes vécus impactent notre Adn. Mais je reviendrai plus précisément sur le sujet dans mon prochain article.
Maintenant, en quoi le Neuro-Training peut être utile :
Vous le lisez à chaque fois, Le Neuro-Training, permet de récupérer de ce que l’on a vécu ou hérité afin de retrouver le CHOIX et pouvoir s’ADAPTER aux défis de la vie.
L’objectif du Neuro-Training est donc de « connecter » cette mémoire afin de baisser la charge émotionnelle toujours active et rendre à nos ancêtres une souffrance qui ne nous appartient pas.
Connaitre l’histoire de sa famille est un plus pour travailler, cependant, le corps garde tout en mémoire, et l’inconscient sait tout.
Le test musculaire ne se trompe pas. Utilisé en séance, il va nous permettre d’avoir accès à l’inconscient et à la mémoire du corps. Il va permettre de recomposer le puzzle et retrouver l’histoire passée qui se rejoue éternellement en attendant d’être libérée définitivement.
Ensuite, toujours par le test musculaire, l’inconscient nous amènera à la Meilleure Option Neurologique qui permettra à la personne d’exprimer enfin qui elle est. Et d’écrire et lire enfin son propre livre.
J’ai souhaité écrire cet article suite au témoignage de Madame Laurence B.
Cette séance fut impressionnante par la prise de conscience et la libération qu’elle a générée immédiatement.
Je remercie Madame B. pour sa confiance et pour son magnifique témoignage.
Vous pouvez le retrouver sur mon blog dans l’onglet « témoignages ».
